~Une envie de liberté~

Quelle heure pouvait il être? 21 heures, 22 heures? Cela faisait bien longtemps que le russe ne regardait plus son gousset, préférant de loin l'impression de liberté qui semblait se dégager de lui à cet instant préçis. Mais où était Nicoleï? Et bien simplement à 20 mètres du sol, sur un superbe balai de belle facture. Certes celui ci n'était pas de la première fraicheur, mais était toujours aussi efficace, et toujours aussi élégant, ce qui bien sûr convenait parfaitement à quelqu'un comme le beau russe. Il volait toujours plus haut, toujours plus rapidement car selon lui il n'y avait rien de mieux que le vol pour se détendre lorsque l'on a des problèmes. Et à cet instant, Nicoleï en avait un de taille. Pour faire simple, disons qu'il s'était disputer avec son frère une nouvelle fois...

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Nicoleï sortait de sa salle commune, avec la ferme intention d'aller courir pour entretenir son corps, comme il avait l'habitude de le faire 3 fois par semaine. Cette fois ci pourtant, quelque chose n'allait pas... En effet, son frère l'attendait à la sortie de sa salle, semblant vouloir courir avec Nicoleï. Celui ci haussa un sourcil, avant de se diriger en marchant vers les portes qui menaient au parc, en marchant, et en silence surtout. Pas un de parlait, pourtant il marchait à côté, comme deux clones sans paroles... Arrivés dehors, les deux frères se mirent à courir de concert, comme mûs par un instinct semblable. Cela dura près d'une heure, avant qu'Alexys se décide enfin à parler, en Anglais:

"As tu changer d'avis Nico?"

"Certainement pas frèrot, et tu sais que je changerais pas..."

"Мандюк! (mandyouk)(Imbécile) Tu sais ce qui t'arriveras à être neutre?"

"Certainement pas pire qu'à toi Alex, à la différence près que moi je n'aurais rien sur la conscience, contrairement à toi..."

Ils s'arrêtèrent brusquement, toujours de concert, se dévisageant. Et Alexys reprit sa discussion, mais cette fois en russe:

"Брат!(Brat)(Frangin)Tu mourras comme un Болван (Bolvan)(Idiot)"

"Mieux vaut être idiot que meurtrier..."

Finissant cette parole, Nicoleï s'éloigna de son frère, en courant de plus en plus vite pour s'éloigner toujours plus...

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Alors qu'il repensait à cela, le jeune homme sentit son corps s'alourdir, comme s'il tombait. Et c'était le cas... Livré à lui même, le balai avait décidé de plonger vers le sol, à une vitesse absolument vertigineuse. Le jeune russe reprit le contrôle de son balai assez rapidement, et évita la chute sur le sol de justesse. Il descendit de son balai passablement énervé, avant de sentir un regard posé sur lui. A cette constatation, le jeune homme releva la tête, et vit la personne qui le regardait. D'un air froid, il regarda cette personne, attendant une quelconque parole de sa part...

Le soir avait déjà gagné. La nuit sembler fraiche, pas autant que la précédente. Charlotte faisait les cent pas dans son dortoir, se coucha sur son lit, pensa, rien a faire, elle ne pouvais pas arréter de ce tracasser sur ca peur du vol. Elle décida de déscendre, il y a de cela deux jour elle avais échouer ca tentative de combattre ca peur, cette fois elle avait encore plus de determination. Elle pris de quoi ce couvrir pour ne pas avoir froid, sortie, juste au moment où elle voulue sortire elle vit quelques personne sortire de la grande salle, désidément, ce n'est pas elle qui risquer d'avoir faim, ni même d'aller étudier la dedans, elle s'y sentirais bien trop épier. Charlotte déscendit encore quelque marche et voila que déjà la grande porte s'ouvrais. Elle sortie et ce diriga vers le parc. Elle alla chercher dans les coin au balais, ce vieux balais déssercher et noir de saleter au niveau de la paille, si vieux que ses caprices était immence. Charlotte alla cette fois sur le terrain de quidditch histoire d'aoir plus de place que ce coin d'apprentissage. Alors que la jeune miss voler doucement a son ruthme à environ soixante centimètre du sol, elle appercu une personne faire un piquer avec son balais.

Charlotte ce souvain de cette personne qui avait chuter quand elle était petite et c'est ce qui lui avait donner cette peur. Elle fut télement troubler de ce rapeller se moment qu'elle chuta elle même de son balais casiment a l'arret et à seulement quelque centimètre du sol, elle ne ce fit donc aucun mal. Elle ce releva et posa son regard sur la personne qui avait certainement repris le controlm car il était à terre un air froid braquer sur Charlotte dont le coeur battais à une vitesse incroyable. Elle vener d'avoir une peur bleu. Encore a genous par terre miss Parker ce releva tenant le balais dans sa main, elle eu le reflexe de le jetter loin d'elle en lui lanssant un regard de dégout et de peur. LA peur, oui cette peur qui la paralyser a l'idée de voler ce lisez dans ses yeux. Alors que l'aire froid de ce jeune homme se poser sur elle, Charlotte ce contanta de tourner la tête vers lui, aucun sourire, juste un ttaint de peau légérement plus pale que la normal et des yeux emplisde peur. On pouvais facilement voir que la peur n'était pas causer par ce jeune homme mais par le balais qu'elle avsi eloigner d'elle.

Charlotte n'osa pas bouger, elle ne savais pas comment réagire face a ce qui vener de lui arriver, voir ce balais piquer de ci haut ... c'était horrible, revoir la scéne de son enfance encore plus, mais ce qui était le plus éprouvant pour ell était de regretter d'éseillier de surmonter sa peur. elle ce demander même si finalement ca lui server à quoi que ce soir d'éseillier, aprés tout étudier dans des livre c'est mieux, au calme; hors tanter de vaincre ca peur, déja ca lui fesait tériblement peur même a trés peu de hauteur comme ce soir et pour finir elle n'en resorter que avec quelque bleux. Revenons à nous, elle était face a ce jeune homme, elle ne savait pas quoi dire, elle ne parler pas, trembler légérement, ses cheveux noir éttait attacher en une queue de cheval avec ceulement deux méche qui passer devant ses oreille. Comment allait-elle réagire ? Elle ne faisait rien jusqu'au moment où elle reconnue Nicoleï un ami d'enfance, mais que fesait-il là ?! elle le regardit, puis elle fini par sourir même si elle avait encore peur pour ce qui vener de ce passer. ce sourir était signe de bonjour, mais elle l'effaca trés vite, Charlotte ce montrait souvant froide même avec ses amis, mais à l'interieur d'elle, elle était d'une douceur immence.

La mécanique du coeur est bien difficile aurait dit l'un, Alenn ne murmurra pas un mot. De peur de sortir à nouveau une bétise comme l'autre.Les deux premières phrases était là pour meubler, N'y portez pas attention.
Alenn était muet devant ce magnifique livre appellé très justement par ces auteurs : Les inexplicables secret de l'arithmancie.
En effet, c'était inexplicable. S'armant de son courage et de sa main droite pour accoudoir, il se replongea dans les chiffres et les signes. Au bout de dix minutes, son menton glissa de son accoudoir et il se rattrapa à dix centimètre d'atterrir sur le bureau, les dents serrées de peur. Tous va bien. Il avait besoin de repos. C'est cool le repos. ça repose bien.
Il sortit de la bibliothèque avec un livre sous le bras. Il avait pris un autre cette fois, il s'agissait de l'Histoire de Poudlard. Ouvrage datant des années deux mille, il y a trois génération. Depuis qu'il avait été nommé, non sans une certaine surprise, préfet, il devait donné l'exemple. L'exemple HAHAHAHA. Il se cogna la tête contre son manuel. Il était l'exemple de ce qu'il ne fallait pas faire et en tirant une certaine fierté c'vrai.
s'il suffisait d'aider les nouveau tout irait bien alors. Il souria doucement tandis que le soleil lui caressait le front. Il sortit dans le parc chantonnant un air qu'il avait dédié à son chat "Cuckoo's Clock.". En effet, Alenn adore son chat.Pour la raison suivante : Ce fut son premier ami.
Une fois enfermé dans une maison après la mort de son père, le niveau de distraction n'était pas terrible. C'est alors que le chat est apparu dans sa rue, et qu'il l'a ramené. Donc voila. Alenn a eu une enfance horrible, non ? Sortez vos mouchoirs.

Oh. Un oiseau ? Ah non. ça ne ressemble pas vraiment à ça. On dirait un truc plutôt. Alenn fronça un peu les sourcils, il était arrivé si prêt du terrain de Quidditch ?Qui l'eut crû. L'oiseau tomba et fonça vers le sol brusquement ! Le jeune Poufssoufle ouvrit bien grand les yeux et se mis à courir vers l'intérieur du terrain. Cinq minutes plus tard, il se tenait les côtes près de deux personnes. Il n'avait pas vu que le terrain était si loin, mais il aurait du s'en méfier, Pour qu'un élève ressemble à un oiseau fallait bien un bon kilomètre.
Il tomba à terre après y avoir posé son livre en soufflant comme s'il venait d'acomplir un marathon. Non, Alenn n'est pas un grand sportif. C'est plutôt du genre à savoir courir longtemps mais pas vite.
Il remarqua que l'oiseau n'était personne d'autre que *Tadam* : Nicoleï. et pas loin de lui se tenait Charlotte. Alenn se releva, Avec son air gêné habituel, il se gratta l'arrière de la tête.

"Bonjour vous deux !Qui m'a fait courir comme ça en tombant ?"

Il se doutait bien que c'était le pouffy Rsse car la serdaigle avait une peur assez monstre de l'altitude. Mais bon, la question était posée, c'était trop tard. Un sourire amusé se placa sur les lèvre d'Alenn tandis que ses cheveux devenait d'un bleu un peu plus foncé. Il ramassason livre et attendis une réponse.