PV : Gellert A. Dumbledore
Le bruit des feuilles craquant sous les pas entourait le Serpentard. Il s’ennuyait ce soir là et il n’avait rien trouvé de mieux que de marcher dans l’endroit le plus dangereux du compté, la forêt. C’était assez idiot de s’y rendre en plein nuit, après tout ce lieux était infesté de créatures en tout genre, quelles soient dangereuses ou non. Alexandre avançait, éclairé de sa baguette. Un faisceau lumineux rendait visible les environs, c’était assez clair pour une nuit sans Lune, cette baguette était un vrai prodige. Autour de lui, de vieux tronc semblaient bien abîmés, certain étaient coupé à la base du tronc, des branches brisées jonchaient le sol de ci de là. De nombreuses entailles étaient visibles dans les bois alors qu’au sol, une toile immense recouvrait le sol, peu visible mais pourtant bien présente. Elle était imposante et ne donnait pas réellement confiance. Faire demi tour était la bonne solution pensa alors l’élève, mais c’était trop tard. Une odeur acre se répandit entre les arbres, un cliquetis se fit entendre, puis un autre, et encore un, rapidement ce bruit devin persistant, il ne s’arrêtait plus. Le sol vibrait et les branches fracturées se fendirent et atterrirent au sol dans un fracas assourdissant. Le Serpentard se mit à courir, courir, courir encore. Il avait été trop long à réagir, déjà une centaine d’acromentules le rattrapaient. Toutes ses araignées géantes avaient faim, après tout ce n’était pas tous les jours qu’un petit imprudent s’aventurait aussi loin dans la forêt. Elles avaient bien l’intention d’en profiter. Alexandre, de son côté, lançait des sortilèges de tous les côtés mais elles étaient bien trop nombreuses. Une idée lui vint alors.
-Aragna Exime !
Un jet de lumière rouge sortit de sa baguette. La vague d’araignée se brisa alors sur la côte qu’avait formé le sortilège. Sa allait déjà les ralentir pas mal. Il reprit donc sa course, plus rapide que jamais. Il devait fuir au plus vite. Il continuait de lancer le même sort à tout va, sans réellement savoir si il était toujours efficace. Après cinq minutes de cette course effrénée, il s’arrêta, il était seul à présent. La lisière de la forêt n’était plus trop loin, les créatures avaient due abandonner, se sentant trop près de la civilisation.